Bilans d’évènement
Retour sur le Girl Boss Talk
Retour en images sur le Girl Boss Talk organisé par la CCIFS et Etam Suisse à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes.
La CCI France Suisse et Etam Suisse ont organisé le 8 mars passé un Girl Boss Talk, pour mettre en lumière quatre femmes inspirantes à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes :
@Lifeofbeti, bâloise, nous a présenté sa double casquette d’architecte et de créatrice de contenus (16 000 abonnés sur sa page Instagram) et la difficulté d’associer les deux. Mais elle le tente, en lançant son site sur le design et le « life style ». Son conseil : « Tiens tes positions ! » [Stand the ground]
Carmen Kiavilia, française et avocate internationale aux barreaux de Paris et de Berne est revenue sur son parcours académique atypique en droit le droit de l’entreprise puis en master en finances et économie dans la renommée Haute École de Commerce de Paris (HEC). Son conseil : A l’image de la danse, qu’elle a longtemps pratiquée, « il faut apprendre à tomber pour mieux se relever »
Philippine Declercq, Country Manager pour le groupe Legrand travaille dans un domaine avec 97% d’hommes. Elle est d’ailleurs une des seules CEO en charge d’un pays de tout le groupe, présent dans 185 pays. Elle peine à recruter des femmes malgré les actions de son entreprise, cotée au CAC 40, pour réserver certains postes aux femmes. Le réseau ELLE@Legrand, est ouvert aux femmes et aux hommes et propose des actions pour réfléchir à la mixité au sein de l'entreprise. Son conseil : « nous, les femmes, avons de grandes qualités, mais nous n’en sommes souvent pas assez conscientes ».
Narmada Ramakrishna, Entrepreneure sociale, est revenue sur son parcours depuis l’Inde jusqu’à Genève. Diplômée en biotechnologie, elle co-fonde pink maharani, qui commercialise des pièces de luxe en cachemire, puis metta muse, pour mettre en relation designers pour la plupart européens et artisans indiens de manière responsable et éthique. Selon Narmada « derrière chaque matière, chaque produit, il y a un humain, qui source, fabrique ou commercialise ». Et nous rappelle que toutes les études le prouvent : « il n’y a pas que la mixité de genre qui enrichit une entreprise, mais également les différences ethniques ou culturelles »
Plus d’une quarantaine de femmes et d’hommes de tous horizons étaient présent·es dans la boutique d’Etam pour s’en inspirer et échanger avec les intervenantes.